Ynis Witrin v3
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Ynis Witrin v3

Les armées démoniaques assiègent le Continent, mais une île résiste toujours
 
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 Don't worry about Charlie

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MessageSujet: Don't worry about Charlie   Don't worry about Charlie EmptyDim 28 Juin - 21:38

I - IDENTITE



Nom:
De La Roseraie

Prénom:
Charlie

Age:
18 ans, née le cinq septembre

Origine :
Une vieille famille noble française

Famille:
Fille unique. J’ai vu mon père mourir sous mes yeux ainsi que ma nourrice. Je ne sais pas ce qu’est devenue ma mère. Je pense qu’elle est morte, elle aussi. Je sais que James et son père son Angleterre et espère qu’il ne leur arrive rien.

Race:
Humaine

Profession:
// Réfugiée \\


II- PROFIL PSYCHOLOGIQUE


Caractère:
Je sais me faire petite quand il le faut. Je ne suis pas une personne envahissante mais plutôt discrète. Mon agilité et ma rapidité me permette de ne pas me faire trop remarquer. Je ne suis pas une grande bavarde mais je suis souvent là pour écouter. Lorsque je parle, en général, je ne mens pas. Chaque sentiment remonte vite à la surface ce qui fait de moi une fille hypersensible. Heureusement que j’ai mon pouvoir pour m’aider quelque peu. Je sais ce que je veux et je fais tout pour y parvenir, je suis persévérante et par la même occasion, têtue. Je ne parviens pas à me sortir une idée de la tête. Je suis plutôt courageuse et responsable ce qui m’a permis de faire le choix de quitter ma dernière famille. Je suis plutôt jalouse et possessive mais pareil je sais faire usage de mon pouvoir. Il est vrai qu’il m’est d’une grande utilité. Je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds tout de même. J’ai mes limites.

Signe(s) particulier(s) Mental (aux):
Je suis allergique aux poils d’animaux.

Qualités:
Persévérante, Courageuse, Honnête, Intelligente

Défauts:
Hypersensible, Têtue, Jalouse, Possessive, Gourmande,


III- APPARENCE PHYSIQUE


Physique:
On dit que je ressemble comme deux gouttes d'eau à ma chère mère. Je n'ai jamais su si je devais le prendre comme un compliment ou pas. Etant donné que je n'ai pas vraiment apprécié ma mère sauf les derniers instants de sa vie, il m'était difficile d'en juger. Il est vrai, je ne peux le nier, que nous avons les même yeux bleus. Je me rappelle que, moi, je détestais la regarder droit dans les yeux. Elle s'en servait d'arme à faire peur et à intimider l'adversaire. Je pense que ce n'étais pas du tout mon cas. Ils étaient doux et "neutre". Je veux dire par là qu'on ne pouvait y distinguer grand chose. Ils étaient surmontés de fin surcils brun/chatains tout comme la couleur de mes cheveux lisses, fins et longs. Une petite bouche rosé décorait mon visage pâle et mon petit nez pointu. Je n'étais pas très grande (~ 1m65) et plutôt mince. Je n'ai pas de style vestimentaire bien défini ...

Signe(s)particuliers Physique(s) :
Effectivement, plusieurs chose sont propres à Charlie. Tout d’abord, elle porte sans arrêt sa gourmette offerte par Amélie qui lui rappelle ses valeurs sur le poignet droit. Elle porte une énorme cicatrice sur toute la paume de la main droite ce qui lui a donné son mauvais pouvoir. Elle la cache avec un gant qui appartenait aussi à Amélie. Elle porte également sa bague de fiançailles mais elle préfère l’accrocher autour de son cou avec un chaîne. Elle est systématiquement muni de sa dague coincé dans sa ceinture.


IV - BIOGRAPHIE


Voir ci-dessous


V- ARMES & POUVOIRS


Pouvoirs:

1 - Je peux léguer un sentiment dans une chose animé ou inanimé. Si c’est un objet, je peux le laisser une douzaine d’heure. Si c’est une personne, elle s’accapare le sentiment et en subit les conséquences. Je ne peux le récupéré que si la personne le souhaite. Je ne peux léguer qu’un sentiment à la fois.

2 - Après ma blessure à la main, il me reste une énorme cicatrice au pouvoir néfaste qui ne doit rentrer en contact avec rien ni personne sous peine de mort instantané. Faire usage de ce pouvoir nous rend plus puissant mais il détruit peu à peu le moral. En faire trop usage détruit l'humanité qu'il y a chez une personne.


Armes:
- Une Dague

Talents/Hobby/Loisirs:
Dessiner


VI- HORS RP


- Comment avez vous eue connaissance du forum?
Merci Forum Actif

- Que pensez-vous du design?
C’est simple, c’est beau

- Des suggestions?
Pour le moment aucune

- Le mot de la fin?
Bon Appétit =P


Dernière édition par Charlie De La Roseraie le Lun 29 Juin - 17:19, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Don't worry about Charlie   Don't worry about Charlie EmptyDim 28 Juin - 21:38

IV- BIOGRAPHIE


JOURNAL DE CHARLIE


I - PRESENTATION


Je ne sais pas vraiment comment débuté ce journal intime qui vient de m’être offert pour mon septième anniversaire. Je vais essayer de t’expliquer, Claire (c’est le nom que tu porteras désormais), un peu ce qui je sais de ma vie.

D'après ce que je sais, mes parents ne désiraient pas savoir quel était le sexe de leur futur enfant. C'est peut-être pour cela qu’ils furent déçus lorsque, moi, une fille, la leur, je fis mon apparition. Mon père, Jean-Louis De La Roseraie, troisième du nom, fils du Duc De La Roseraie, désiraient plus que tout un fils pour pouvoir lui succéder tout son domaine dans l'honneur. Il est vrai qu'il était plus raisonnable d'avoir un mâle dans une famille aussi riche et noble que la nôtre pour la succession des biens. C'était grâce à mon arrière grand-père qu'aujourd'hui nous pouvions vivre dans un tel luxe. Il avait réussit à se dresser à la tête d'une immense entreprise de fabrication de machines agricoles qu'il vendait dans toute l'Europe et qu'il exploitait sur d'immense terre non loin du château De La Roseraie. Lors de ma naissance ce château ne portait plus ce nom, enfin, si, mais les gamins du coin l'appelait plutôt "La Rose aux Épines" ou "Le château des Épines". Vous vous demandez sans doute pourquoi et au fond je suis certaine que vous le savez. Je vais cependant vous l'expliquer.

Ma mère était une grande femme mince au bras de fer et au gant de soie. Elle aimait plus que tout recevoir. Il ne se passait une semaine sans une réception embarrassante, un dîner ennuyeux ou une visite énervante. Elle avait beaucoup de goût et d'élégance et je pense que c'est cela qui a poussé mon père à l'épouser. Lui, il s'occupait plus de son travail et de son accès dans le beau monde que de moi. Mais, en réalité, je m'en fichais pas mal. Mon père n'était pas un model pour moi et nous n'avions aucune affinité. Premièrement, ils m'ont appelé Charlie. Je déteste ce prénom. Enfin, je trouve qu'il me fait trop penser à ce que je devrais être : un garçon. Je préfère qu'on m'appelle Lili ou Rose. Bref, se ne sont pas mes parents qui m'ont élevé. Je pense que vous comprenez à peu prêt pourquoi les gamins du coin ne pouvaient pas apprécier mes parents... Et moi par la même occasion.

Mais j'avais une seule amie : Amélie Freld, ma nourrice. C'est elle qui m'a élevé et c'est toujours elle avec qui je partageais tout. Elle me faisait de gros gâteau pour mon anniversaire, me couvrait de caresse avant de m'endormir, m'emmenait récolter des cerises dans le jardins l'été, me lire des histoires tout l'hiver, m'apprenait à compter et à parler d'autres langues, en me consolait lorsque mère venait de me rouer de coups, elle me faisait des bisous lorsque mon père était passer devant moi et que la seule chose qu'il avait su me dire était "arrête de t'empiffrer de sucrerie tu commences à ressembler à un dindon"... Lorsque pour la première fois, je m'en rappellerais toute ma vie, elle m'appela Rose, mon cœur s'emballa et je me mis à pleurer. De joie, de colère, de remords ... Un peu de tout en fait. Je crois que c'est à partir de ce jour-ci que je la considérai comme ma grande sœur. Elle m’apprit à me défendre. Des mouvements simples de bases rien qu'avec mon corps mais aussi, lorsque je fus plus grande, avec une dague qu'elle avait du payé une fortune. Elle avait dit qu'elle avait voulu m'offrir plus gros mais qu'elle avait eut peur de la réaction de mes parents et de se faire renvoyer. C'est aussi elle qui m'a offert la gourmette don je ne peux me séparer.

"Force, Liberté, Sincérité"

C'est ce qui l'y avait d'inscrit dessus. Et c'est ce qui m'avait aidé à surmonter la colère de ma mère, l'indifférence de mon père et le regard méprisant des autres enfants de mon âge. Aujourd'hui c'est cette gourmette qui guidait ma vie, mon cœur.


II – QUOTIDIENT


La semaine dernière, mère a demandé à ce qu’on me coupe les cheveux soit disant trop longs. Ils ne dépassaient pourtant pas mes épaules. Alors, c’est avec regret qu’Amélie prit le temps de me les couper. Cependant, elle ne les coupa que de peu et je pense que ma mère le remarqua car elle lui fit signe de la suivre dans la pièce mitoyenne. Je ne restai pas contrairement à d’habitude où ma soif de curiosité prenait le dessus. Je partis dans ma chambre et commençai à peigner les longs et doux cheveux de ma poupée en songeant qu’elle n’aurait, elle, pas besoin de les couper.

Je n’ai pas revu Amélie depuis hier soir. J’espère qu’elle ne s’est pas faite renvoyée. Je ne pourrais m’en relever. Alors, j’ai passé ma journée assise dans ma chambre à dessiner des paysages lugubres et à pleurer. Je n’arrêtais pas de toucher mon bracelet dans l’espoir qu’il me rapporterait du réconfort. Et c’est ce qu’il fit. Je le touchais en pensant à me dégager de cette tristesse et, je ne pleurais plus. Presque joyeuse. C’était étonnant. Je retournais à mes occupations d’artiste et je dessinais de jolies fleurs.
Je suis contente, aujourd’hui j’ai vue Amélie. Elle ne m’a pas dit pourquoi elle n’était pas venue hier mais je n’osai lui poser la question. Père et Mère s’était absenté pour aller pécher, je crois et nous en profitâmes pour nous entraîner avec la dague qu’elle m’avait offerte. Je m’améliore de jour en jour. Je suis rapide et agile ce qui facilite la plupart de mes mouvements. Je ne devrais pas tarder à dépasser Amélie.
Mère a invité beaucoup de gens aujourd’hui. Elle a exigé que je vienne à l’heure et en tenue convenable. Amélie m’a coiffé, enfin elle a essayé avec le reste de cheveux qu’il me reste à me coiffé, a trouvé une magnifique robe bleu clair et aux dentelles blanches et m’a maquillé. Elle me disait que j’étais extrêmement belle et que plus tard je pourrais être quelqu’un de très reconnu. Moi, lorsque je me regardais dans le miroir, je ne voyais que le reflet de ma mère. Avec peu être les traits moins durs mais je lui ressemblais. Je me mis à pleurer devant le miroir. J’arrivais dans la salle de réception du noir coulant de mes yeux.
Trois jours s’était écoulés depuis que Tante Grâce était repartie en Angleterre pour voir son fils. Heureusement, elle avait amené avec elle un petit chat plein de poils. Je vis une crise. Je me grattais dans tout les sens et je n’arrêtais pas d’éternuer. Amélie me disait que je devais être allergique aux poils.



III – CHANGEMENT


Il faisait froid cette nuit là. Tout le monde avait mit des écharpes, des gants, de gros manteaux et pulls pour ne pas attraper la mort comme disait mon père. Tout le monde partis se coucher de bonne heure mais nous ne pûmes malheureusement pas dormir cette nuit là. Le tonnerre éclatait dans le ciel et des bruits massacrants traversaient les collines. Mes parents virent me réveiller. Et je crois que c’était la première fois qu’ils me parlaient avec des yeux attendris et en même temps anxieux.
- Charlie, il faut que tu t’en ailles ! M’expliquai rapidement mon père.
- Pourquoi ? Qu’ai-je fais ? Non, ne m’envoyer pas dans un pensionnat ! Je vous promets …
- Ce n’est pas toi le problème, Charlie ! S’énerva ma mère.
- Alors … Pourquoi ?
- Ma fille, vois-tu le monde n’est plus très sûre de nos jours. Nous tenons à te mettre en sécurité, sur une île en paix nommé Ynis Witrin. Tu y seras en sécurité là-bas.
- Pourquoi vous ne venez pas avec moi ?
- Si personne n’est ici lorsqu’ils arriveront, ils continueront à nous chercher et tu mourras.
- Mais, … Vous … Vous allez… mourir ?
Je n’aimais pas mes parents. Mais l’idée de les perdre m’était insupportable. Au fond, je les aimais. Ils étaient loin d’être de parfaits parents mais je ne pouvais les détester.
- Sans doute… Mais avant de mourir, j’aimerais que tu saches que…
- Nous t’aimons. Murmura ma mère.
C’était le coup de grâce. Je m’effondrais en larmes.
Soudain, un énorme bruit surgit dans le hall d’entrée. Nous étions tous pris de panique et nous ne savions que faire.
- Charlie, sauves-toi ! Dit M. De La Roseraie.
- Passes par la porte de derrière et longe le ruisseau jusqu’au prochain village ou tu pourras prendre de quoi nourrir pendant au moins trois jours (elle me donna trois billets bleus). Ensuite continue jusqu’au château des Mac Beaver et demande au voiturier de t’amener jusqu’au sur la côte Nord-Ouest pour que tu embarques sans problème.
Je descendis les escaliers à une vitesse folle derrière Amélie. Alors, un homme, ou du moins une chose couverte d’une cape noire la reteint par le dos et commença à la battre. Amélie se défendit. Bientôt, un autre homme me retint par le bras, au début je hurlai mais par la suite, sans qu’il s’en rende compte, je sortis ma dague et lui enfonçai dans le pied. Je l’entendis hurler et il me colla contre le mur et il me planta son couteau dans la main droite. Je hurlais et lui, il tournait la lame dans ma plaie en sang. Je sentis une chose horrible se passer dans ma main. Mon père arriva sur lui, et lui tira une balle dans le crâne. Du sang bordeaux dégoulinait sur mon visage blanc comme un linge.
- Viens Charlie ! Passe par là !
- Où est Amélie ?
- Je ne sais pas, elle était avec toi !
- Amélie ! Amélie !
Je la cherchai. Et je la trouvais. Encerclée par cinq hommes en noir. J’arrivais en les poussant comme si j’avais une chance et, à chaque fois que j’en touchais un de ma main ensanglantée, il tombait au sol, mort. Je parvins donc vers Amélie qui n’en revenait pas. Mais elle était déjà allongé par terre le ventre en sang. Je ne la touchai pas. Je ne voulais pas la perdre.
- Charlie…
- Amélie ! Relève-toi ! Je sais que tu le peux ! S’il te plait !
- Ne t’inquiètes pas tout vas bien ce passer … Tu vas t’en sortir… Mais… Il faut que tu t’en aille…
- Non ! Je ne veux pas que tu partes ! Je ne veux pas te laisser partir ! Pas sans moi !
- Tu t’en sortiras tu es grande à présent !
- Mais non, ! Je n’ai que quatorze ans !
- Ne t’inquiète pas ! Aie la force d’y croire !
Inconsciemment, je jetai un coup d’œil à mon bracelet et Amélie remarqua ma main en sang.
- Charlie, mais… Tu saignes!
- C’est rien…
- Prends mon gant…
Elle utilisa ses dernières forces pour me tendre le gant et un baiser sur ma joue froide avant de s’éteindre. Je rejoins mon père en pleurant. Et mes larmes ne cessèrent pas lorsque je le retrouvai mort lui aussi. Je ne retrouvai pas le corps de ma mère. Je pris un sac et quelques affaires, toujours en larmes.
Je partis.


IV - REVE


Je me sens plus que jamais seule, Claire. Même toi tu ne peux combler cet étrange vide. Je ne suis plus triste enfin du moins pendant encore dix heures. J’ai mis ma tristesse dans mon bracelet. Oui, j’ai compris que j’avais une capacité extraordinaire qui pour le moment me sert bien. Là, je suis chez les Mac Beaver. J’y suis arrivé ce matin même après avoir marché plus de quatre jours. Au château il n’y avait plus que M. Mac Beaver et son fils, James Mac Beaver à peine plus âgé que moi. Ils m’expliquèrent que « Les Capes Noires » étaient partis vers l’est alors ils ne reviendraient pas par ici avant aux moins deux mois. Alors, nous allons vivre tous les trois avec également une des bonnes qui a survécu. Marlène est son prénom.
Je porte jour et nuit le gant. Je ne veux tuer personne.

Une semaine que je suis au château Mac Beaver et je m’y sens agréablement bien. Je suis pourtant de nouveau triste et déprimé mais James me remonte le moral. Il est gentil. Il prend soin de moi et j’aime beaucoup cela. Je crois que je tombe amoureuse de lui.

Aujourd’hui nous sommes le cinq septembre. C’est mon anniversaire! J’ai quinze ans. Cela fait un mois que je suis chez les Mac Beaver. Pour cette occasion, M. Mac Beaver m’offert une mallette avec de nouveau crayon de couleur passant par toutes les teintes. James lui, il m’a offert un baiser. Je n’en reviens pas. Je suis encore en état de choc je crois. Je ne sais pas si il était sincère ou si seulement il voulait me remonter le moral. Après tout peu importe…

Les Mac Beaver ont du partir voir leur cousine. Je suis rester à la maison avec Marlène. Avant de partir James m’a embrassé et M.. Mac Beaver m’a serré dans ses bras. Lorsqu’ils sont partis, je me suis rendu compte à quel point mes parents et Amélie me manquaient. Je pleurai sans cesse. Je voulais le revoir. Je me rappelais les mots qu’ils m’avaient dit et je pleure encore plus. Ce soir là, j’étais tellement bouleversée que James à dormit avec moi. Il a passé son bras autour de moi et je me suis endormis, soulagée.

Cela fait deux mois que nous sommes là, encore en vie. Nous savons qu’ils ne vont pas tarder alors on se prépare à partir. Nous devons rejoindre le Havre où apparemment tout le monde est encore en vie. Je viens juste de parler à M. Mac Beaver de cette île. Et il m’a répondu en riant que cette île n’existait pas c’était un mythe. Je ne comprenais plus rien. Étions-nous alors condamné à mourir ?

Nous sommes partis et je n’ai plus l’espoir de survivre. Je veux juste rester auprès de James pour le temps qu’il me reste à vivre. Pendant le trajet je repensais à ce que je laissais. Je mis ma tristesse de côté.

Le Havre est une très belle ville. Nous nous sommes installés dans un petit manoir qui appartient à un ami de M. Mac Beaver : Tristan Shonen. Il va nous accueillir aussi longtemps qu’il le peu.
..
..
..

Aujourd’hui est une belle journée. Le soleil est au rendez-vous ainsi que James. Nous passons beaucoup de temps ensemble et nous pensons continuer ainsi. Il m’a demandé si je désirais qu’un jour peut-être nous nous mariions. Je ne savais pas quoi répondre à part que j’étais encore jeune. Se marier à dix-sept ans était un peu juste. Il s’en fichait. Il savait que nous devions profiter du temps qu’il nous restait à vivre. Il n’avait pas tort. J’acceptais.



V - VOYAGE


Je faisais des projets alors que le destin avait déjà tout compromis. Notre mariage devait avoir lieu dans quelques semaines et pourtant je dus partir. Les Mac Beaver voulaient rejoindre l’Angleterre pour ce reposer. Je m’opposai à ce choix.
- Nous n’allons tout même pas fuir toute notre vie.
- Que veux-tu faire Charlie ? Les combattre ?
- Oui ! Nous devons défendre nos terres et reprendre le contrôles de la population.
- Ce que tu dis est insensé ! Allez fait tes bagages et partons !
- Non, pas cette fois !
- Que dis-tu ?
- Je ne veux pas me cacher, je veux me combattre. Je veux trouver cette île pour Père et aussi pour trouver des personnes courageuses ! Si personnes ne réagit nous allons tous mourir.
- Mais tu seras la première à mourir en faisant ça.
- Et bien, je mourrais dans l’honneur.
- Et moi ? Se manifesta James pour la première fois depuis le début de la discussion.
- Et bien, tu viens avec moi !
- Hors de question ! Je veux vivre mes derniers instants paisibles et à tes côtés !
- Parce que pour toi c’est paisible de fuir tout les six mois !
- C’est mieux que de se cacher sur une île inexistante !
- Elle existe ! J’y crois !
- Tu y crois et tu ne l’a jamais vu !
- Moi, j’ai la foi… Pas vous ? Murmurai-je.
Il eut un long silence. J’avais ma réponse.
Le lendemain après de long adieux désespérés, nous prîmes chacun un bateau différent. Eux, un énorme paquebot dans lequel tous les habitants du Havre se hâtaient et moi dans une petite embarcation au nous n’étions pas plus de sept. J’avais toujours l’anneau de fiançailles au doigt et je pensai à James.
Je ne sais pas combien de temps nous restâmes dans le bateau mais je sais que ce fut long. Un jour nous arrivâmes sur l’île. Je demandai à u homme sur le quai quel jour on était.
- Le cinq septembre mademoiselle.
- Merci, monsieur. Bonne journée.
*Joyeux Anniversaire*
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MessageSujet: Re: Don't worry about Charlie   Don't worry about Charlie EmptyDim 28 Juin - 22:44

Me revoilà =)

Ta fiche est terminée je présume ?

Alors attention à quelques petites fautes et inattentions dont "c’est yeux" => ses yeux.

Le premier pouvoir est intéressant ! Veille à ne pas abuser du deuxième. Je pense que c'est un peu fort comme pouvoir, il faudrait y ajouter une contrainte...

Je rappelle juste pour la forme qu'on reste dans une ambiance médiévale uu

Tu peux agrandir ton avatar en l'hébergeant à partir d'un autre site (voir la discussion dans les questions/suggestions).

Ta fiche est sympathique, ça fait plaisir !

Voilà, arrange moi ça et je te valide n_n
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MessageSujet: Re: Don't worry about Charlie   Don't worry about Charlie EmptyMar 30 Juin - 22:16

Bon, tout m'a l'air en ordre ^^

Fiche validée
, amuse toi bien parmi nous =)
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MessageSujet: Re: Don't worry about Charlie   Don't worry about Charlie Empty

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